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29 octobre 2019/dans Non classé /par Bruno Jammes
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FICHE n°14 – Élévation ouest du bras nord du transept

6 novembre 2017/dans Fiches /par Bruno Jammes
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https://www.depuis543.org/wp-content/uploads/2018/01/fiche20restauration.jpg 675 900 Bruno Jammes https://www.depuis543.org/wp-content/uploads/2016/07/logo-couleur.png Bruno Jammes2017-11-06 20:34:082019-10-29 16:11:11FICHE n°14 - Élévation ouest du bras nord du transept
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29 octobre 2019/par Bruno JammesInNon classé

6 novembre 2017/par Bruno JammesInFiches

FICHE n°14 – Élévation ouest du bras nord du transept

16 novembre 2016/par Bruno JammesInFiches

Protégé : Fiche 2 : Restauration du grand décor XIXeme sous la conduite de Victor Baltard

3 octobre 2016/par Bruno JammesInFiches

Protégé : Fiche 2 : Restauration du grand décor XIXeme sous la conduite de Victor Baltard

31 août 2016/par Bruno JammesInFiches

Restauration du grand décor XIXeme sous la conduite de Victor Baltard

6 novembre 2017/par Bruno JammesInFiches

FICHE n°14 – Élévation ouest du bras nord du transept

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Protégé : Fiche 2 : Restauration du grand décor XIXeme sous la conduite de Victor Baltard

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    FICHE n°14 – Élévation ouest du bras nord du transept
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    RESTAURATION DU GRAND DÉCOR XIXeme SOUS LA CONDUITE DE VICTOR BALTARD

    FICHE n°14 – Élévation ouest du bras nord du transept


    1. Décors architectoniques d’Alexandre Denuelle
      Peints à l’huile-cire sur enduit
    2. Vitraux de Lusson du Mans
      Grisailles à entrelacs et filet de couleur (1864)
    3. Décors figuratifs de Sébastien Cornu (circa 1865)
      Peints à l’huile-cire sur enduit
                a. L’Invention de la Vraie Croix
                b. Saint François d’Assise
                c. Saint Pierre de Saint Jean de la Croix
                d. Saint Jean de la Croix
    4. Boiseries XIXe

     

    Description
    A la mort d’Hippolyte Flandrin, l’architecte Victor Baltard choisit le peintre Sébastien Cornu pour réaliser le décor du bras nord du transept de l’église. S’inscrivant dans les registres décoratifs mis au point par Alexandre Denuelle, Sébastien Cornu reprend pour la paroi ouest la composition élaborée par Flandrin dans la nef. Ainsi, une large composition représentant l’Invention de la Vraie Croix se déploie sous les vitraux de Lusson du Mans entre lesquels sont représentés des personnages bibliques. Pour cette paroi, l’artiste reprend également la technique de peinture à la cire mise au point par Flandrin.

    Restauration et enjeux
    De par son encrassement prononcé, ce grand décor pictural est aujourd’hui difficilement lisible depuis le sol. Le projet de restauration prévoit le nettoyage et le refixage de la couche picturale tant sur les scènes historiées que les décors architectoniques afin de redonner à la paroi toute son unité décorative. Ce projet de restauration comprendra également la restauration des boiseries en partie basse et le simple nettoyage des baies hautes (ayant déjà fait l’objet d’une restauration récente).

    Test de nettoyage réalisé par les ateliers Arcoa


     

    Coût du mécénat
    93 447 €

     

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    CETTE RESTAURATION
     

    Agence Pierre-Antoine Gatier, ACMH, 2015

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    RESTAURATION DU GRAND DÉCOR XIXeme SOUS LA CONDUITE DE VICTOR BALTARD

    FICHE n°15 – Élévation nord du bras nord du transept


    1. Verrière XVIIe
    2. Décors architectoniques d’Alexandre Denuelle
      Peints à l’huile-cire sur enduit
    3. Autel Saint-François Xavier
      Coustou, XVIIe, recomposé par Godde en 1826
    4. Mausolée de Jean Casimir roi de Pologne
      Sculpture de Marsy, 1674, recomposé par Godde en 1826
    5. Victoire sur les moscovites en Lituanie
      Bas-relief en bronze de Jean Thuibaut
    6. Boiseries XIXe

     

    Description
    Dans le cadre des grands travaux mauristes du XVIIe siècle, l’extrémité du bras nord du transept a été intégralement reprise afin de mettre en oeuvre une grande vitrerie à dé et bordures émaillées. En 2001, celle-ci a fait l’objet d’une restauration complète menée par la Ville de Paris qui a permis de retrouver tout son éclat d’origine.
    Les élévations intérieures ont reçu, comme dans la nef, une riche décoration polychrome conçue par Alexandre Denuelle sous la conduite de l’architecte Victor Baltard.
    Le décor en faux-appareil et les boiseries des parties bases contrastent ainsi avec la blancheur du marbre de la statue de Jean Casimir, Roi de Pologne. Ce mausolée fut sculpté par Gaspard de Marsy en 1674, puis recomposé par Godde en 1828 lors de sa réinstallation après les troubles révolutionnaires.

    Restauration et enjeux
    Le projet de restauration prévoit le nettoyage et la remise en cire de la sculpture funéraire en marbre et du bas-relief en bronze attenant de Jean Thibaut. Le socle et le dais en plâtre qui les mettent en valeur seront restaurés avec le nettoyage, la consolidation du support et la reprises des lacunes. Les travaux projetés comprennent également la restauration des boiseries en partie basse et des décors polychromes de Denuelle, tandis que la grande verrière fera l’objet d’un simple nettoyage.

    Test de nettoyage réalisé par les ateliers Arcoa


     

    Coût du mécénat
    97 201 €

     

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    Agence Pierre-Antoine Gatier, ACMH, 2015

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    RESTAURATION DU GRAND DÉCOR XIXeme SOUS LA CONDUITE DE VICTOR BALTARD

    FICHE n°16 – Élévation est du bras nord du transept


    1. Décors architectoniques d’Alexandre Denuelle
      Peints à l’huile-cire sur enduit
    2. Autel Saint-François Xavier
      Coustou, XVIIe, recomposé par Godde en 1826
    3. Décors figuratifs de Sébastien Cornu (circa 1865)
      Peints sur toile marouflée

    a. La Transfiguration
    b. Jésus laissant venir à lui les petits enfants
    c. La Mission des apôtres
    d. Jésus laissant venir à lui les petits enfants
    e. La Descente aux Limbes

     

    Description
    A la mort d’Hippolyte Flandrin, l’architecte Victor Baltard choisit le peintre Sébastien Cornu pour réaliser le décor du bras nord du transept de l’église. S’inscrivant dans les registres décoratifs préalablement établis par Alexandre Denuelle, Sébastien Cornu ne reprend pas, comme pour la paroi opposée, le principe de composition établi par Flandrin dans la nef. Ainsi, la paroi Est s’organise en quatre scènes historiées équivalentes représentant des épisodes de la vie du Christ. Au centre de chaque scène, le Christ se tient debout dans une attitude similaire laissant penser qu’un même modèle fut repris et adapté. La technique employée diffère également puisqu’il ne s’agit pas de peintures murales mais de toiles peintes réalisées en atelier avant d’être marouflées au mur.

    Restauration et enjeux
    De par son encrassement prononcé, ce grand décor pictural sur toile marouflée est aujourd’hui difficilement lisible depuis le sol. Le projet de restauration prévoit le nettoyage et le refixage de la couche picturale et de la toile tant sur les scènes historiées que les décors architectoniques afin de redonner à la paroi toute son unité décorative. Ce projet de restauration sera également l’occasion de documenter les techniques de peintures murales employées dans la seconde moitié du XIXe siècle.

    Test de nettoyage réalisé par les ateliers Arcoa


     

    Coût du mécénat
    90 594 €

     

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    Agence Pierre-Antoine Gatier, ACMH, 2015

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    RESTAURATION DE L’AUTEL SAINT FRANÇOIS-XAVIER

    FICHE n°17 – Autel Saint-François Xavier – bras nord du transept


    1. Sculpture de saint François-Xavier, par Coustou
    2. Tabernacle en bronze sculpté
    3. Autel en marbre rouge et ornements en bronze
    4. Colonnes en marbre rouge
    5. Chapiteaux et éléments architectoniques en plâtre
    6. Intrados en bos et angelot en cartons pierre dorés
    7. Gloire en bronze
    8. Plaques de dévotion en marbre

     

    Description
    L’autel du bras nord du transept initialement dédié à saint Placide puis saint Casimir fut entièrement recomposé par Godde après les troubles révolutionnaires. Au centre, la statue de saint François-Xavier, sculptée par Coustou en 1722, fut donnée à l’église par Alexandre Lenoir en 1802 et provient du noviciat des jésuites. Le saint en marbre foule du pied une tête grimaçante et barbue, symbole de l’Idolâtrie.

    Restauration et enjeux
    Le décor de l’autel saint François-Xavier présente aujourd’hui un encrassement généralisé et de nombreux manques dans ses éléments décoratifs mêlant le bronze, le plâtre et le carton-pierre. Cet ensemble monumental fera l’objet d’une restauration complète avec le nettoyage, la remise en cire des marbres, la reprise des lacunes et la restitution des éléments manquants. Cette opération sera également l’occasion de conforter l’intrados en bois de la niche afin de pallier aux désordres structurels actuels.

    Exemples des désordres affectant le décor


     

    Coût du mécénat
    65 910 €

     

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    RESTAURATION DU GRAND DÉCOR DU XIXeme SOUS LA CONDUITE DE VICTOR BALTARD

    FICHE n°18 – Croisée de transept


    1. Décors d’Hippolyte Flandrin
      Médaillons représentant quatre anges sur fond doré
    2. Décors architectoniques d’Alexandre Denuelle
      Peints à l’huile-cire sur enduit
    3. Crucifix
      Bois peint

     

    Description
    L’autel du bras nord du transept initialement dédié à saint Placide puis saint Casimir fut entièrement recomposé par Godde après les troubles révolutionnaires. Au centre, la statue de saint François-Xavier, sculptée par Coustou en 1722, fut donnée à l’église par Alexandre Lenoir en 1802 et provient du noviciat des jésuites. Le saint en marbre foule du pied une tête grimaçante et barbue, symbole de l’Idolâtrie.

    Restauration et enjeux
    Le décor de l’autel saint François-Xavier présente aujourd’hui un encrassement généralisé et de nombreux manques dans ses éléments décoratifs mêlant le bronze, le plâtre et le carton-pierre. Cet ensemble monumental fera l’objet d’une restauration
    complète avec le nettoyage, la remise en cire des marbres, la reprise des lacunes et la restitution des éléments manquants. Cette opération sera également l’occasion de conforter l’intrados en bois de la niche afin de pallier aux désordres structurels actuels.

    Exemples des désordres affectant le décor


     

    Coût du mécénat
    131 438 €

     

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    RESTAURATION DU GRAND DU GRAND DÉCOR DU XIXeme SOUS LA CONDUITE DE VICTOR BALTARD

    FICHE n°19 – Élévation ouest du bras sud du transept


    1. Décors inachevés d’Alexandre Hesse
      Prévus sur toile marouflée
    2. Décors architectoniques d’Alexandre Denuelle
      Peints à l’huile-cire sur enduit
    3. Vitraux de Lusson du Mans
      Grisailles à entrelacs et filet de couleur (1864)

     

    Description
    En 1870, le peintre Sébastien Cornu meurt après avoir réalisé le décor du bras nord du transept. On choisit alors pour réaliser les peintures du bras sud Alexandre Hesse, élève de Gros, issu d’une grande famille d’artistes. De grandes toiles marouflées devaient initialement s’inscrire dans les registres décoratifs préalablement mis au point par Alexandre Denuelle, mais le décès de l’artiste, en 1879, laisse le décor inachevé. Autre témoin du grand décor conduit par Victor Baltard, deux grisailles à filet de couleurs des ateliers de Lusson du Mans occupent les parties hautes.

    Restauration et enjeux
    Témoignant d’anciennes infiltrations ayant eu lieu avant la réfection des couvertures, ce décor est aujourd’hui altéré et difficilement lisible de part son encrassement. La base des piles attenantes à la chapelle Saint-Maur souffre d’une usure généralisée liée à la fréquentation de l’édifice Le projet de restauration prévoit le nettoyage et le refixage de la couche picturale ainsi que la réintégration illusionniste des lacunes. L’ensemble sera complété par la restauration des deux grisailles en partie haute sur lesquelles sera mis en place un dispositif assurant une ventilation naturelle continue qui permettra d’éviter les phénomènes de condensation.

    Détail des parties hautes et des grisailles de Lusson du Mans


     

    Coût du mécénat
    89 039 €

     

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    RESTAURATION DE LA GRANDE BAIE MAURISTE DU BRAS SUD DU TRANSEPT

    FICHE n°20 – Baie 12 du bras sud du transept


    1. Décors inachevés d’Alexandre Hesse
      Prévus sur toile marouflée
    2. Décors architectoniques d’Alexandre Denuelle
      Peints à l’huile-cire sur enduit
    3. Vitraux de Lusson du Mans
      Grisailles à entrelacs et filet de couleur (1864)

     

    Description
    Dans le cadre des grands travaux mauristes du XVIIe siècle, l’extrémité du bras sud du transept est intégralement reprise afin de mettre en oeuvre une grande vitrerie composée de deux lancettes surmontées d’une rose et deux écoinçons. L’ensemble présente un motif à dé et des bordures florales émaillées à l’exception de la rose dont le motif central comporte un tétragramme sacré. Aujourd’hui, l’état sanitaire de la baie est très altéré avec de nombreux verres manquants ou cassés et la flexion de certains panneaux qui présentent une résistance mécanique insuffisante.

    Restauration et enjeux
    La grande baie mauriste fera l’objet d’une restauration d’envergure nécessitant le montage d’échafaudage tant par l’intérieur que l’extérieur. Les panneaux de la baie seront entièrement déposés et restaurés en atelier après un diagnostic approfondi. Selon les conclusions de ce dernier la dépose des serrureries fixes pourra elle-aussi être envisagée. La restauration de la baie comprendra notamment le nettoyage des panneaux, la suppression des plombs de casse, le remplacement et la restauration des pièces en recherche. Les fers seront brossées et restaurés avec application d’un produit anti-corrosion et mis en peinture. Dans une optique de conservation préventive, Un dispositif assurant une ventilation naturelle continue
    sera mis en place en partie basse afin d’éviter les phénomènes de condensation.

    Grande baie n°12
    Créee au XVIIe et restaurée aux XIXe et XXe siècles


     

    Coût du mécénat
    171 625 €

     

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    RESTAURATION DU MONUMENT DES CASTELLAN ET DU GRAND DU GRAND DÉCOR DU XIXeme

    FICHE n°21 – Élévation ouest du bras sud du transept


    1. Décors architectoniques d’Alexandre Denuelle
      Peints à l’huile-cire sur enduit
    2. Tombeau des Castellan
      Sculpté par Girardon en 1683 et recomposé par Godde en 1826
    3. Panneau de boiseries XIXe

     

    Description
    A la fin du XVIIe siècle, Charles de Castellan, abbé commendataire de Saint-Evre de Toul finança la décoration du bras sud du transept à la condition qu’un mausolée à la mémoire de sa famille y soit érigé. François Girardon, sculpteur du roi, est alors choisi pour faire ce monument, placé en 1683 dans la chapelle Saint-Maur (à l’emplacement de l’actuel confessionnal).
    Après la révolution, le monument est réinstallé dans le bras sud par Hippolyte Godde qui le recompose en 1828. Du mausolé d’origine, il ne reste plus que les deux statues représentant la Fidélité et la Piété tenant les portraits gravés de Louis et Olivier de Castellan. En 1945, ce tombeau fut à nouveau restauré avec la suppression des trophées de plâtre disposés de part et d’autre du tombeau par Godde.

    Restauration et enjeux
    Dans le cadre du projet de restauration, les parties manquantes, nez et mains, des deux allégories seront restituées avant d’être nettoyées et remises en cire. Le socle en marbre reproduisant l’épitaphe rédigé par Mabillon sera également restauré tout comme les décors réalisés sous la conduite de Victor Baltard : peintures murales d’Alexandre de Denuelle et boiseries en parties basses.

    Parties manquantes et altérations des parties basses


     

    Coût du mécénat
    95 882 €

     

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    RESTAURATION DU GRAND DÉCOR XIXeme SOUS LA CONDUITE DE VICTOR BALTARD

    FICHE n°22 – Élévation est du bras sud du transept


    1. Décors inachevé d’Alexandre Hesse
      Prévus sur toile marouflée
    2. Décors architectoniques d’Alexandre Denuelle
      Peints à l’huile-cire sur enduit
    3. Autel Sainte-Marguerite
      Construit en 1675 par Bullet et remanié par Godde en 1826

     

    Description
    En 1870, le peintre Sébastien Cornu meurt après avoir réalisé le décor du bras nord du transept. On choisit alors pour réaliser les peintures du bras sud Alexandre Hesse, élève de Gros, issu d’une grande famille d’artistes. De grandes toiles marouflées devaient initialement s’inscrire dans les registres décoratifs préalablement mis au point par Alexandre Denuelle, mais le décès de l’artiste, en 1879, laisse le décor inachevé.

    Restauration et enjeux
    Témoignant d’une importante infiltration ayant eu lieu avant la réfection des couvertures, ce décor est aujourd’hui altéré et difficilement lisible de par son encrassement. Le projet de restauration prévoit le nettoyage et le refixage de la couche picturale ainsi que la réintégration illusionniste des lacunes. Les nombreux repeints disgracieux issus des précédentes campagnes
    de restauration seront également supprimés afin de redonner au décor toute son homogénéité.

    Détails des désordres causés par les infiltrations


     

    Coût du mécénat
    96 247 €

     

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    RESTAURATION DE L’AUTEL SAINTE-MARGUERITE RECOMPOSÉ PAR HIPPOLYTE GODDE

    FICHE n°23 – Autel Sainte-Marguerite – bras sud du transept


    1. Sculpture en marbre de sainte Marguerite, par Jacques Bourlet, 1705
    2. Tabernacle en chêne doré
    3. Autel en marbre et ornements en bronze
    4. Colonnes en marbre rouge
    5. Chapiteaux et éléments architectoniques en plâtre et décor en carton pierre
    6. Plaques de dévotion en marbre

     

    Description
    A la fin du XVIIe siècle, Charles de Castellan, abbé commendataire de Saint-Evre de Toul finança la décoration du bras sud du transept à la condition qu’un mausolée à la mémoire de sa famille y soit érigé. Plusieurs projets furent conçu par Pierre Bullet, intégrant au centre la statue de sainte Marguerite, sculptée par Jacques Bourlet, moine convers de l’abbaye en 1705. Après la révolution, l’autel fut réinstallé par Hippolyte Godde, qui recomposa l’autel en marbre et bronze orné d’un tabernacle doré à la mixtion représentant l’Agneau mystique.

    Restauration et enjeux
    Le décor de l’autel Sainte-Marguerite présente aujourd’hui un encrassement généralisé et de nombreux manques dans ses éléments décoratifs mêlant le bronze, le plâtre et le carton-pierre. Cet ensemble monumental fera l’objet d’une restauration complète avec le nettoyage, la remise en cire des marbres, la reprise des lacunes et la restitution des éléments manquants.

    Détails des désordres


     

    Coût du mécénat
    52 687 €

     

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    RESTAURATION DU GRAND DÉCOR XIXeme RÉALISÉ SOUS LA CONDUITE DE VICTOR BALTARD

    FICHE n°24 – Première travée nord de la nef


    Vitraux de Lusson du Mans
    1. Grisailles de la nef 1857

    Décors figurés d’Hippolyte Flandrin
    Peints à l’huile-cire sur enduit entre 1856-1863
    2. Adam et Eve
    3. Abel et Enoch4. L’Annonciation
    5. Le Buisson ardent
    6. Rinceaux
    7. Frises et arcatures

    Décors non figuratifs d’Alexandre Denuelle
    8. Chapiteaux polychromes
    9. Voûte semée de fleurs stylisées

    Description
    Entre 1855 et 1863, l’architecte Victor Baltard conduit un vaste programme décoratif pour la nef de Saint-Germain des Prés. Il fait alors appel à des artistes renommés comme Alexandre Denuelle ou Hippolyte Flandrin qui développe ici une grande composition en frise articulant les scènes de l’Ancien et du Nouveau Testament autour de l’axe central de chaque travée. 
    Débutant le cycle iconographique, l’Annonciation et le Buisson ardent se développe sous les figures d’Adam et Eve et de deux patriarches. Cette réalisation est l’occasion pour l’artiste de préciser sa technique de peinture à la cire, procédé déjà employé dans le chœur de l’église. Ce grand décor mural est accompagné par un vitrail en grisaille produit par les ateliers de Lusson du Mans conférant à l’ensemble une grande unité.

    Restauration et enjeux
    Fortement encrassé et ayant subi des altérations dues à l’humidité, ce décor pictural exceptionnel est aujourd’hui difficilement lisible depuis le sol. Le projet de restauration prévoit le nettoyage et le refixage de la couche picturale afin de redonner à l’oeuvre son unité de lecture. Ce projet de restauration sera également l’occasion de documenter l’un des rares décors muraux
    peints à la cire.

    L’Annonciation et le Buisson ardent, gravés par Poncet, élève de Flandrin


     

    Coût du mécénat
    90 648 €

     

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